Syndicat CGT des hospitaliers d'Hirson Syndicat CGT des hospitaliers d'Hirson
Témoignage... |
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Mon histoire personnelle, je le reconnais, est extrêmement passionnante. Je pense même en faire un livre un jour, ... un feuillet... une brochure ? un timbre ? Quoiqu'il soit, un élément de cette vie restera à jamais... Car admettons le, qui aurait pris le risque assez conscient, celui qui nous réunis tous ici, sans le cadre accueillant, bienveillant, et ce malgré nos dérives personnelles, qu'est l'hôpital public. Ses médecins jugés sur leur humanité, leur disponibilité. Certains auront à redire, mais ne vous trompez pas d'ennemi. Ayant été hospitalisé une fois, je peux parler de ma petite expérience, qui révèle davantage un manque d'effectif plutôt qu'un manque d'attention... dirons nous d'intention même. Ces belles façades de bâtiments administratif, alors que les équipements vieillissent, les patients placés dans des chambres vétustes quand elles sont disponibles, non par manque de place, mais par manque de personnel ! Bref. Aujourd'hui notre cher ($?!) gouvernement aimerait le voir encore plus administré, alors que ma mère déjà infirmière à son époque se plaignait de cette dérive oligarchique... On voudrait noter les administratifs plutôt que les médecins. Un médecin serait un mécano, sans considération, le patient un "client", et M. l'administratif de s'octroyer de mirifiques bonus pour excellente gestion en ayant dépensé toujours moins pour l'équipement, hourra.. On est en plein cauchemar. Nous peinons à tenir la sécurité sociale, ne laissons pas des méthodes avérées désastreuses nous voler nos hôpitaux PUBLIC ! Laissons au public, ce qui est public, les soins, les transports, l'énergie... Signez la pétition si vous tenez à votre prise en charge, si ce n'est pour les autres, pensez au moins à vous ! Je défends l'Hôpital Public, lieu de formation des professions médicales et paramédicales, de l'innovation et des progrès thérapeutiques, qui offre à tous, sans discrimination, des soins de qualité. Je m'oppose à son démantèlement qu'annoncent d'une part un nouveau mode de direction qui aura pour souci principal la rentabilité, d'autre part des suppressions d'emplois non justifiées qui altèreront la qualité des soins. L'Hôpital Public doit avoir un financement lui permettant de remplir ses missions.
Bruno, qui reste libéral, quand bien même. |
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