Protégeons la Sécurité Sociale (Rapport d'introduction de la CE du 10-11-09)

 

500 milliards d' euro de prestations sociales, c'est la mine d'or que banques et assureurs privés convoitent.
 

Quand Ambroise CROIZAT, à la sortie de la seconde guerre mondiale dans une France entièrement dévastée a inventé la Sécurité Sociale malgré les circonstances difficiles cela a été possible.

 

Cette Sécurité Sociale, il nous faut la défendre tous les jours, dernières attaques : la hausse du forfait hospitalier, la baisse du remboursement de certains médicaments font que l'on sollicite en permanence les mutuelles. N'oublions pas que les requins de la finance, tels notre cher président SARKO et son gouvernement, rêvent de privatiser la Sécurité Sociale, ils poursuivent au pas de charge la démolition de ce système solidaire en culpabilisant les malades, les accusant d'être tous des fraudeurs !

 

Comment peut-on laisser ce gouvernement et ce président dire cela en les laissant se prendre pour le roi et les princes de la France, ne les laissons pas faire. AGISSONS, pour ne pas leur faire appliquer le système Américain qui consiste en : « donne-moi ton carnet de chèques, si tu veux être soigné ». La preuve aujourd'hui, on voit comment OBAMA a du mal à mettre en place un semblant de santé sociale dans son propre camp.

 

Pour tout cela soyons VIGILANTS et BATTONS NOUS pour garder notre Sécurité Sociale, décrite comme le meilleur système de santé au monde.

 

Pour conclure, je vais vous citer quelques exemples de ce que cela vous couterait si, en France, la Sécurité Sociale venait à disparaître. 

 

-        10 200 euro à l'année pour soigner un cancer.

-        13900 euro à l'année pour un patient atteint de la maladie d'Alzheimer.

-        3 986 euro par accouchement.

 

Ces chiffres vous donnent à réfléchir et à débattre ensemble, certes, après débat et réflexion, camarades, je ne vois qu'une chose à vous dire et vous redire, sans cesse AGISSONS contre ce gouvernement et tous ensemble ne les laissons pas faire de nous leurs vaches à lait.